Mouais, je le trouve raté ce film. Pourtant le concept était porteur et assez novateur. Il pose un regarde sur la vie assez intéressant même si un rien naïf, c’est sans doute ce qui pousse à le regarder jusqu’a bout. Même les séquences de cinéma contemplatif sont drôle parfois, c'est assez inhabituelle et agréable, j’ai souris.
Mais la ou j’ai perdu le plus, c’est Dieu
Mais on vois qu'un connard, aigri, baiser par la providence dans un simple but scénaristique (oui oui c’est plus profond que ça, blablabla). C’est pauvre, certes comme je l’ai dit c’est naïf mais rien n’empêche..
Je me déteste donc détester vous les uns les autres. C’est bien joli mais ne vient pas me taper ça après 1h20 de film sans m'offrir quelque chose qui m'en fasse la démonstration. Le ton du film tire sur la sensiblerie et se veux plus profond que ça pour se contenter d'un dieu aussi attendu.
J’ai vu Benoit Poelvoorde
C’est Benoit Poelvoorde
Oui mais ça aurait du être plus fort
C’était Benoit Poelvoorde sans ça mauvaise foi, pas d'ironie ou de satyre, juste un connard.
Sinon dans l’ensemble on passe 2h a s’enchaîner des scènes métaphorico/moralisatrice du regarde sur soi-même.
Des platitudes sans noms d'une longueur et d'un ennuie tel que c'est ce qu’il y a de plus triste dans le film. C'est rattraper de temps à autre par l'espoir que le film insuffle mais ça retombe tout aussi vite qu’un paraplégique aux J.O.
T'as envie de sourire mais t'es agacé parce que t'attends rien et tu fini par te demander ce que tu fou devant ce film. Ah mais si ! Ce que je retiens du film c'est finalement son message qui crée une réflexion. Pas longue mais pas si brêve, heureusement parce que franchement je me suis pas mal fait chier.
Je note 5 parce que malgré tout le film a beaucoup de qualité comme le casting dont je n’ai même pas besoin de parler. Ca fait plaisir d’écrire une critique à nouveau même si mon orthographe pique les yeux.