Vu, vu et revu, depuis ma plus tendre enfance : )
Bercé par les coups de feu étouffés du silencieux, les grands verres de lait et le magique, beau et drôle, et toxico Stansfield ! Et Mathilda, évidemment, elle était si belle, avec ses jambes au-dessus du vide, sa cigarette vaguement cachée sous sa manche trop longue, j'aimais bien ses rayures, son bonnet, même ses jolies imitations. Je découvrais être amouruex en même temps qu'elle, et j'aimais bien.
C'n'est pas du tout une critique, je vous l'accorde, mais qu'importe, quand on aime, on est jamais très clair.