Les Chevaliers du Zodiaque : Une profanation cinématographique

Un attentat contre la nostalgie

Si t’as grandi avec Les Chevaliers du Zodiaque, prépare-toi à souffrir. Ce film n’est pas une adaptation, c’est un génocide culturel. Ils ont pris notre enfance, l’ont passée au mixeur avec du yaourt périmé, et ont servi ça en espérant que les fans gobent. Spoiler : c’est indigeste.

Effets spéciaux en carton, budget d’un épisode de télé-réalité

Quand les armures légendaires ressemblent à du plastique acheté en solde chez un vendeur de déguisements chinois, on sait qu’on est dans la merde. Les combats sont aussi fluides qu’un Windows 98 infecté par un virus, et chaque explosion ressemble à un mauvais fond vert fait sous Paint. Même un épisode de Power Rangers des années 90 a plus de gueule.

Un scénario écrit en 10 minutes sur un coin de nappe

On pourrait croire qu’adapter un classique, c’est respecter l’œuvre originale. Eh bien non, ici, on te pond un scénario qui viole allègrement l’histoire du manga. On dirait un élève de CE1 qui a résumé Saint Seiya après avoir lu la quatrième de couverture et oublié la moitié des persos en route. C’est plat, c’est creux, et c’est une insulte aux fans.

Un casting en mode paie ton loyer

Mackenyu, Famke Janssen, Sean Bean… qu’est-ce qu’ils foutent là ? L’un semble vouloir être ailleurs, l’autre récite ses répliques comme si elle lisait une carte d’anniversaire, et le dernier… bon, Sean Bean, on sait déjà qu’il va crever. Mais franchement, l’acting est d’une nullité absolue, on dirait du théâtre amateur dans une maison de retraite.

Un massacre digne des enfers d’Hadès

Si t’espérais une adaptation fidèle avec des combats épiques, t’es aussi naïf qu’un mec qui croit encore aux promesses électorales. Ce film n’a aucun respect pour l’œuvre originale, c’est un Dragon Ball Evolution version chevaliers. Chaque minute est une souffrance, chaque dialogue un blasphème, chaque scène un crachat sur notre mémoire.

Conclusion : À brûler et à oublier

Les Chevaliers du Zodiaque, version 2023, c’est l’équivalent cinématographique d’un kebab avarié : ça pue, ça dégoûte et ça fait regretter d’avoir dépensé de l’argent pour ça. Si t’aimes le manga, reste loin de cette immondice. Si tu veux juste voir un mauvais film, mate Sharknado, au moins ça assume son ridicule.

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