Hélas oui. On connait tout çà.
Que les femmes sont emmerdées par des tarés dans ces pays de barbares.
Leur VDM...
Rien d'original.
Alors OK, elles jouent bien. On s'identifie et on les aime bien.
Par contre, ce qui est bizarre, c'est que le réal ait été engeôlé plusieurs années pour ses prises de position par le système mais qu'on lui laisse, en sortant de prison, les coudées franches pour "récidiver" avec ce film. Sans surveillance, le gars ?
Excusez-moi mais beaucoup se sont fait zigouiller pour moins que ça.
Comment a-t-il pu produire ce film sur le territoire iranien ? Même, soi-disant, en loucedé (le film est blindé d'images d'archives)
Qui le protège ? Qui est réellement Mohammad Rasoulof ?