En dépit d’un pitch intéressant, il ne faut pas s’attendre à grand-chose de cette suite

Les Guerriers du Bronx (1982) nous avais laissé sur un goût d’inachevé avec une fin bâclée & expéditive, on espérait donc qu’Enzo G. Castellari lave cet affront en réalisant une suite digne de ce nom. Sauf qu’il n’en sera rien… toujours aussi peu inspiré, il va une fois de plus l’expédier.

En dépit d’un pitch intéressant « une multinationale veut raser le Bronx et éliminer tous ses habitants afin de réhabiliter le quartier pour une opération immobilière lucrative, avec le soutien de la classe politique en place ». Hélas, il ne faut pas s’attendre à grand-chose de cette suite qui aligne les scènes d’action sans saveur, au grès de quelques explosions de maquettes d’immeubles (et même un cabriolet miniature).

Mais que les fans se rassurent, on retrouve toujours notre bon vieux Mark Gregory et ses pecs luisants. Alors que dans le précédent opus, on avait eu la surprise d’y retrouver un certain Fred Williamson, cette fois-ci, ce sera la présence du charismatique Henry Silva et sa trogne de badguy qui viendra donner un peu d’épaisseur à l’intrigue.

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