Durant la seconde guerre mondiale, Daniel Craig (Casino Royale) est le leader d’un groupe d’insurgés réfugié dans la forêt, un groupe réunissant des juifs ayant survécu aux massacres nazis ou échappés des ghettos.
La relation avec son frère Liev Schreiber (Wolverine brother) est intéressante, le premier cherchant à survivre et à protéger ses pairs, lorsque le second choisit la revanche et la lutte armée au côté des soviétiques..
La mise en place d’une communauté, avec l’établissement de règles est intéressante (exemple : chacun aura la même ration de nourriture, et nous ne prendrons chez les paysans des environs uniquement ce qu’ils peuvent nous donner), la justice et l’égalité étant un modèle tout à fait respectable pour la pérennité d’une communauté quelconque.
Ceux qui ont choisit de s’échapper du ghetto et de rejoindre cette communauté ont eu raison. Ils furent 1200 personnes à avoir survécu ainsi à la fin de la guerre.
On est finalement assez éloigné des films d’action auquel un Daniel Craig nous a habitué, une histoire plus touchante que prévue.
critique publiée sur https://boulimiedeculture.wordpress.com/2014/02/15/defiance/