A court de munitions
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Ralalah ! Ça commence un petit peu à me gonfler de ressentir ainsi, de plus en plus souvent d’ailleurs, cette sensation qui semble propre à ce type de film. Au départ, ce "Life During Wartime" prend le temps de brosser des personnages dont on semble nous dire qu’ils vont être atypiques, prometteurs, magnétiques… et puis – pouf ! – l’effort ne dure que dix minutes car très vite le réalisateur semble se contenter de ce qu’il a déjà dans les mains et du coup nous fait mariner le tout pendant près de 1h30 à 2h, sans rien rajouter de plus, se contentant juste de confronter les personnages à leur mal-être et leurs questionnement intérieurs. Non seulement c’est très répétitif, assez lent dans la découverte que l’on nous fait des personnages (il faut dire qu’il n’y a pas grand-chose à dire, donc on dilue forcément), mais le pire c’est que tout cela est finalement d’un banal ! C’est bon, messieurs les cinéastes ! Des peintures de névrosés, on a déjà eu la dose ! Alors, après tout, peut-être certains en ont besoin parce qu’ils se sentent eux-mêmes des bourgeois névrosés avec des bleus à l’âme, et dans ces cas là : banco pour eux ! Mais, message à caractère d’avertissement, tous ceux qui ne se sentent pas concernés, de près ou de loin, par une thérapie de groupe, risquent fort de ne rien retrouver de véritablement réconfortant dans ce "Life During Wartime"...
Créée
le 2 nov. 2017
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