Manifeste pour l'éradication des djeunz...
Merci, Madame Azuelos, pour ce vibrant plaidoyer contre la jeunesse dorée parisienne. Après avoir vu autant d'ados pourris-gâtés-égoïstes-pseudo-rebelles se plaindre que la vie, c'est vraiment trop dur (j'avoue, mais trop quoi ! les parents, ils captent rien, mais trop pas quoi ! c'est clair !), je suis désormais convaincu de l'impérieuse nécessité de passer Paris 16ème au napalm et de dresser des chiens d'attaque à traquer les lycéens survivants. Sus aux petites pétasses (calme toi gamine, j'ai dit sus, avec un -s à la fin, pas un -ce...) et aux publicités ambulantes pour le gel effet décoiffé !
Dans le même genre « crise d'adolescence et enfants de bourges », on préfèrera « Le premier jour du reste de ta vie », pas forcément moins cliché mais au moins plus touchant.