Moins sexy mais plus tendre que beaucoup de films de Sono Sion, Love and Peace semble au début faire de l’œil aux tortues ninjas, à Tim Burton, ou encore au J.F. Sebastian de Blade Runner, mais en gardant un ton unique et déjanté.
C'est un conte de Noël, parfois touchant, mais aussi énervant dans son manque de subtilité (la transformation psychologique du personnage principal prend un peu le spectateur en otage). Mais voilà, Sono Sion reste perché et parvient à nous fasciner avec une tortue géante en plastique...