La beaufrerie à un nom dont les initiales sont L.B.

Que Luc Besson se foute de la gueule du monde avec un montage ignoble, des dialogues de nanard des années 70 et une direction d'acteurs en roue libre pour faire du pognon passe encore dans une logique ultre-libérale. Mais ce n'était peut être pas nécessaire d'insulter plus les spectateurs avec un scénario à la Ron Hubbard qui tente de vendre de la pseudo scientologie aux fans (déjà bien amoindris cérébralement par les films Taxis) du réalisateur.
Crétinerie consternante totale. En soit c'est une forme de performance qui me laisse perplexe sur cette énergie folle d'alchimie inversée pour transformer un film en flaque de boue.

Tohad
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le 13 juin 2015

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