C’est que, en fait, au début, j’avais pas envie de faire un papier sur ces machins qui constituent la bouche de l’insecte qu’on appelle des Mandibules…
Je crois que cette critique n’aura pas de fil rouge… ni une quelconque continuité, parce que j’crois que j’men fous autant que Jean-Gab… C’pas Jean-Gab… ah ouais marrant ça
Du coup les personnages sont enfermés dans leur langage c’est pour ça.
Là le truc c’est que les sorties de routes n’en sont plus. Tout paraît paradoxalement balisé, attendus.
En fait le nom du film est bien trouvé. Il n’est ni plus ni moins que du remâché de Dupieux. Et en plus, il est doublement bien trouvé car il remâche les autres pour en faire du Dupieux. Genre les gars du Palmashow font leur show pas mal mais en s’adaptant un peu mais pas trop au rythme comique du réalisateur. Enfin ils font leurs personnages et c’est quand même usant à la longue.
C’est possible d’être usant à la longue en 1h17 ?
La recette Dupieux contient trop d’huile. Trop grasse ? Sommes-nous allergiques ? A force d’en bouffer. Même si JE SAIS « ON DIT PAS BOUFFER » !!
On s’enlace, on s’enlise
Un petit air de je-m’en-foutisme.
Mouche la touche touche pas la mouche comme disait un cornu connu. Ou une diva sans poil je ne sais plus.
Il est intéressant de noter que ce qui fait avancer l’intrigue, si compté qu’elle avance, si compté qu’elle existe, est la bêtise. Marrant. hMPf. Marrant…
La bêtise, ou le hasard, ça dépend.
Alors bon, je vais pas écrire grand-chose d’autre parce que je crois que j’men fous.
C’est sympa quoi, mais ça casse pas trois pattes à la mouche.