Divisé en trois parties, Melancholia a beaucoup de qualités, esthétiques notamment. L'intro sur le thème de Tristan et Iseult de Richard Wagner est sublime, la qualité de l'image, on se croirait dans une expo de peinture réaliste, étrange et magnifique.
La première partie qui repose sur le personnage de Kirsten Dunst est celle qui m'a le plus plu et touchée. Le traitement du thème général de mélancolie sur fond de fin du monde (en résumant avec le dos de la cuillère) m'a vraiment séduite aussi.
La deuxième partie mettant en scène Charlotte Gainsboug qui m'a gavé. J'ai rien contre elle mais là, ça va bien 5 minutes de chouiner, 1h c'est relou. Et une question m'a taraudé : Charlotte Gainsbourg impose-t-elle dans les contrats de tous ses films de devoir avoir les cheveux mal peignés et un pull trop grand pour elle ?