Aucune intrigue n’est posée, le récit est déjà joué, pourtant l’histoire de ces personnages nous captive. Je ne sais pas s’il s’agit du style d’Adam Elliot, que j’ai découvert par ce film, où s’il s’agit de la sempiternelle narration d’on on ne voit pas le bout à en oubli d’où elle part.
La voix choisie pour nous conter cette intrigue est des plus lancinante. D’une monotonie déprimante elle narre lés péripéties navrantes de la jeune Grave Pudel pour qui la vie ne fait qu’aller de mal en pis. La fin est aussi fade que les premières minutes, mais garde un charme à elle par cette aspect narratif.
Je dois reconnaître au Réalisateur sa spectaculaire créativité, qui fait de ce film une oeuvre unique dont on sens qu’elle traduit l’émotion qu’il espérait transposer à l’écran.