White block
C'est totalement dans la lignée de "Béliers", le précédent et premier film d'Hakonarson. Paysages désolés, désertiques et pelés du nord de l'Islande et agriculteurs au verbe rare. Les bovins ont...
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le 15 sept. 2019
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Il est rare de voir des films islandais alors je suis toujours curieuse d'aller les découvrir en salles quand j'en ai l'occasion.
Précédemment, j'avais vu Heartstone (Hjartasteinn) de Guömundur Arnar Guömundsson (2018) et Woman at war de Benedikt Erlingsson, deux films que j'avais apprécié, en particulier le deuxième.
Mjólk est le troisième long-métrage du réalisateur. Une nouvelle fois, il a décidé de s'intéresser au monde rural de son pays, monde qui est soumis à de vastes changements depuis quelques années, avec la crise financière et les impératifs du néolibéralisme.
Sur fond de paysages splendides (qui m'ont donné, plus que jamais, envie d'aller en Islande), ce film aborde des thèmes dignes d'intérêt tels que le deuil, l'émancipation et la solidarité.
Avec peu de dialogues et dans un rythme plutôt lent, Grímur Hákonarson réussit à nous plonger dans son récit et, personnellement, je me suis sentie impliquée et attentive.
Toutes mes critiques sont à retrouver sur mon blog :
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Créée
le 12 mars 2020
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Par
le 15 sept. 2019
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