Le bon fond tout le monde l'a compris (et le sait déjà) : Wall Street domine les médias américains et joue avec l'argent des pauvres.
Les clichés, maintenant (liste non exhaustive, j'ai pas le temps de tous les recenser) :
- Le héros est une célébrité, un yes-life et un millionaire, mais dans l'intimité c'est un homme sensible et capable d'avoir des sentiments
- La directrice de la communication d'un grand groupe du Grand Capital est une quadragénaire célibataire, sexy, opportuniste et habillée comme une mannequin et qui couche avec son CEO
- Les geeks sont représentés par des références à Star Wars et bossent dans un appartement sale avec les volets fermés
- Le développeur d'un logiciel bouleversant les habitudes de l'être humain est un sud-coréen
- Le preneur d'otage est en fait la victime d'un système qui le dépasse, il a des problèmes familiaux et est nerveux, sans doute alcoolique
- George Clooney
- Julia Roberts
- ...
Bref en plus l'humour du film est tout sauf drôle, on a juste envie de quitter la salle. De la vacuité dans le fond et dans la forme.