Laisse une impression d'un temps traité par éclatement multiple, comme du verre brisé plus ou moins blessant ou douloureux.
De deux traits :
Plus d'une fois on pense à l'intrigue tout aussi cruciale (et sans doute plus poignante encore dans son injustice de départ chez Sirk) du Secret Magnifique : un "imbécile" tue ou est responsable de la mort d'un "homme bien"...
Les deux films font appel au pardon le plus difficile à faire et donc à organiser un récit qui amène à cette révolte ou volte-face de l'esprit, qui est presque la chose la plus miraculeuse donnée à un humain.