On comprend mieux la com autour du film qui vante la longueur de la pellicule IMAX, la manière dont les effets pratiques sont utilisés, et même la nudité des scènes de sexes (pourtant anecdotiques)… parce qu’il n’y a rien d’autre ou presque. Sans être inintéressant, le film ne nous emporte jamais très loin, s’empêtre dans son récit sur fond de Maccarthysme, surcut ses dialogues pour tenter de mettre du rythme, en vain. Le boom fait pschit, les enjeux moraux sont survolés et finalement c’est la vie amoureuse débridée du savant qui sauve le film, un comble chez Nolan.