Cours de psycho
Gérard Jugnot vous accueille dans son petit cabinet de psy, et conte l'histoire banale mais tout de même intéressante d'une jeune adolescente. Il obtient alors un rôle de médiateur pour adolescent,...
le 15 août 2020
3 j'aime
5
Un film qui est une ode à l'amour adolescent, aux décisions, à la remise en question. C'est aussi un modèle parfait d'une relation entre une patiente joué par Emilie Dequenne épatante au possible, et un psy joué par Gérard Jugnot, toujours dans un rôle de gentil, mais qui pour une fois joue un personnage "intelligent" il illumine ce film de son empathie. Modèle parfait, oui, car jamais ce film ne tombe dans la caricature du psy, au fond on ne sait rien de lui pendant toute la durée du film, seulement qu'il veut aider sa patiente. Au fil des rencontres on ressent que la patiente intégrè de plus en plus les conseils de son psy, avec la théorie du triangle de Karpman ou triangle dramatique : où chaque personne correspond à un schéma: sauveur, bourreau, victime) la vie en somme. Ce film est très tendre, très joyeux, sans occulter la tristesse. Un vrai rayon de soleil.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Mes films préférés de 2001
Créée
le 18 janv. 2022
Critique lue 118 fois
D'autres avis sur Oui, mais...
Gérard Jugnot vous accueille dans son petit cabinet de psy, et conte l'histoire banale mais tout de même intéressante d'une jeune adolescente. Il obtient alors un rôle de médiateur pour adolescent,...
le 15 août 2020
3 j'aime
5
Je ne suis pas une grande spécialiste du cinéma, je ne jouerai donc pas les critiques éclairées sur le scénario, la qualité du jeu, la mise en scène ou que sais-je encore. Ce film n'est certainement...
Par
le 12 déc. 2017
2 j'aime
Que c’est mal réalisé ! cadrage sans idée, couleur terne, éclairage hasardeux, photographie moche et direction d'acteur médiocre (en outre certains acteurs sont totalement mauvais) et quel générique...
le 16 juin 2014
2 j'aime
1
Du même critique
Nous voici plongé dans la tête de Daniel Johnston, ou plutôt dans la tête de Daniel Johnston et du diable. Johnston chanteur de lo-fi (un des fondateurs) est bipolaire. Et cela entraine chez lui des...
Par
le 17 sept. 2022
5 j'aime
Les 10 premières minutes du film commencent un chef d’œuvre, on est dans une prison, au trou, l'univers est poisseux, mais en parallèle porté par une musique que l'on pourrait qualifié de...
Par
le 26 févr. 2021
3 j'aime
Ce film date de 1936, et pourtant quand on le regarde aujourd'hui, il est frappant de dire que son propos et toujours d'actualité, et que les choses n'ont malheureusement pas changé. C'est bien le...
Par
le 21 mars 2020
3 j'aime
3