Quand j'aurais les mots nécessaires pour exprimer mes ressentis, j'y reviendrai. En attendant, ceux de Pasolini sont suffisants et Abel Ferrara l'a bien compris, négligeant d'y ajouter les siens pour livrer un langage poétique, image-inaire, universel.
Mélanie_Dagnet
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le 17 janv. 2015

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