Des requins bouledogues intelligents --- ils chassent en groupe tels les dauphins... --- échappés d'un centre de recherche au large du Mozambique...
Les sciences dures à la rescousse des scénarios indigents, ce n'est pas nouveau.
Question jeu d'acteurs, on a également vu pire. Idem pour les effets spéciaux.
Reste que les films qui s'inscrivent de bonne grâce dans le cinéma navrant ont peu de marge de manœuvre.
D'autant que celui-ci sacrifie au délire ambiant, avec ces hommes OU concons OU agressifs OU versatiles, rarement courageux (sauf pour les deux Noirs, bien entendu : impeccables de bout en bout).
La fin illustre d'ailleurs le rêve de la Propagande : celui d'un monde sans mâles.
"parité" parfaite en termes de survivants... ou plutôt... de survivantes : 3 femmes (une Noire, une Asiatique, une Caucasienne... que je liste en dernier hein.................... )
DEEP BULLSHIT