Son et lumière
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Un Franju mineur, en mode « Agatha Christie ». Le film est un peu décevant car on attendrait de Boileau et Narcejac, auteurs du roman initial et de son adaptation, une machination diabolique dont ils ont le secret, ce qui n'est pas ici le cas. Le film se laisse cependant voir avec beaucoup de plaisir. Notons une belle scène fétichiste où, revenant d'une longue chevauchée, Marianne demande au palefrenier de lui ôter ses bottes, l'aguiche en caressant longuement sa cuisse avec son pied nu et redresse son visage baissé avec sa cravache.
Créée
le 5 sept. 2018
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