Tout commence par l’arrivée d’un type chargé de s’occuper de l’entretien de la piscine de Mme Stevens, une jeune femme mariée, aguicheuse, qui est en célibataire ce weekend-là car son mari ne va rentrer que le lundi. Il s’en tape le coquillard. Il écoute sa musique et une fois qu’il a fini son travail, il se casse. Et c’est à ce moment-là, que venu de nulle part surgit un tueur qui va couper la gorge de la madame.
Puis, dans une maison, non loin du lieu de son premier méfait, notre tueur pourra essayer les outils qu’il a acheté au Mr Bricolage local sur Blair, une fille à papa hautaine et agaçante, le genre de personnage que l’on souhaite voir mourir dans d’atroces souffrances, qui organise une pool party avec ses copines qui sont comme elle, sauf Nancy, qui semble un peu plus sympa et modeste. Ça sera sanglant car notre tueur est imaginatif, il change d’arme à chaque fois. Petit coquin.
Et c’est ça qui est intéressant dans ce film. Le tueur va nous montrer un arsenal impressionnant et va régler tout ce joli monde de plein de façons différentes. Les dix dernières minutes sont plutôt bonnes. C’est la partie la plus intéressante, dès qu’on a la révélation.
Les acteurs sont assez mauvais, les dialogues sont assez infames, même s’ils sont à deux ou trois reprises assez rigolos et référencés, mais, finalement, la qualité très moyenne du film est attendue, vu le titre qui n’annonce rien d’autre que du sang et des boobs, et l’affiche qui, bien que super kitchissime, a, tout de même, un certain charme.