La toute puissance des 80's
Pour résumer le film Predator en un mot : muscle. Puis flingue aussi. Mais surtout muscle.
Quand il y a contact ? Flingue.
On monte un camp ? Bombe.
On trouve l’ennemi guérillero ? Bombe + flingue.
Ton copain s’est fait buter par le Predator ? Sulfateuse + rasage de la forêt (http://youtu.be/XZ-EOg38t1o).
C’est ça l’esprit Predator. Un John McTiernan en grande forme, du gros calibre, un ennemi bien bâtard et un Schwarzy qui s’en tire pépère après une explosion qui te rase les ¾ de la jungle. Ça et des répliques de dingues (« S’il peut saigner, on peut le tuer », « T’as pas une gueule de porte-bonheur ! »).
Predator reste, à travers les décennies, d’une perfection sans nom. Le meilleur des 80’s (avec Die Hard du même McTiernan).