Alors, oui, le film est magnifique, plutôt bien filmé (cela reste relatif, mais on note un soin parfois trop rare sur le créneau du grand public) et les acteurs remplissent tout à fait leur rôle (difficile de croire qu'au début d'une séance de film assimilé "alien", on puisse ignorer que les trois-quarts du casting ne servira que de chair à canon)... Mais comment, au-delà de tout pinaillage de micro détails scénaristiques, ignorer cette thèse créationiste? Comment cautionner un propos pareil?
On parle beaucoup d'hommages aux films précédents... Quelle contradiction d'insérer du divin dans une mythologie ayant toujours glorifié la complexité et la fragilité de l'organique.