La malédiction du préquel
Quand on enlève le clinquant gore, l'esthétique bleutée et les quelques effets visuels de Prometheus pour se consacrer à la substantifique moelle, le scénario, on s'apperçoit que celui-ci n'est qu'une successions d'ncohérences tenant sur une page, ne faisant même pas la liaison avec Alien. Quand on connait le potentiel de Ridley Scott, surtout dans ce domaine, c'est un immense sentiment de frustration qui nous envahie. Il n'en faudrait guère plus pour imaginer que l'on a voulu exploiter les fans captifs de la série, d'autant qu'on imagine facilement une suite à ce désastreux opus. En espérant que cela n'arrive jamais...