Attention chef d'oeuvre!
Toi qui est "genre" psy, chologue, chiatre, chanalyste, chotérapeute, ou qui chaque semaine te rues sur les pages Psy de ton Famaktuelle ou GQ allonge toi devant ce chef d'oeuvre !
L'amour, l'instant de l'amour sublime, cet instant qui sera le marqueur, le sommet de l'émotion émerveillée. Cette perte de soi même en "l'autre", en la présence de "l'autre" corps fusionnant, le corps étrangers absorbant tout l'amour en sublimant l'instant, en libérant cette pesante existence imposée. Cet instant tel an, tel mois, tel jour, à telle heure, cet instant de fusion mirifique peut détruire a jamais. Le coupable amour maternel. Ces instants ou il n'y avait qu'à attendre le déversement d'amour, cette enfant adoré, fusionné, génèrent un handicapé incapable de saisir la vie, de saisir celle qu'il désir. Ces instants d'enfance rendent "l'autre" inaccessible. 5 secondes du film, 5 secondes semblant issues d'un film d'horreur, indiquent le terrible, innocent, coup de poignard-amour qui banalisera toute son existence ! c'est finit, enfermé définitivement dans ce cocon d'amour absolu, il ne lui reste qu'une ennuyeuse vie à errer; à rêver; à attendre, à dormir.