Evil Boobs
Le postulat de base est plutôt alléchant. A la manière de Peter Jackson "trashisant" les Muppets avec ses Feebles, Fred Olen Ray s'attaque à Qui veut la Peau de Roger Rabbit ?. L'affiche met l'accent...
Par
le 21 déc. 2015
1 j'aime
Evil Toons a la prétention de mélanger Evil Dead et Qui veut la peau de Roger Rabbit ! Mais nous avons à faire à un nanar qui, il faut le reconnaître, a au moins le mérite d’assumer à fond son manque de moyens et sa crétinerie.
Le film est surtout l’occasion d’afficher copieusement les nichons de quatre bimbos débiles issues du domaine du porno. David Carradine n’apparait que quelques minutes et semble n’être là que pour qu’il y ait une vedette à l’affiche. Quant aux toons, il n’y en a qu’un qui n’apparait aussi que quelques minutes et qui est fort mal animé !
Cerise sur le gâteau, la copie proposée par Crocofilms est médiocre et en VF !!!
x Inutile de se déranger *À voir à la rigueur ** À voir, ***À voir absolument, **** Chef-d’œuvre
Créée
le 7 févr. 2023
Critique lue 8 fois
D'autres avis sur Qui a peur du diable ?
Le postulat de base est plutôt alléchant. A la manière de Peter Jackson "trashisant" les Muppets avec ses Feebles, Fred Olen Ray s'attaque à Qui veut la Peau de Roger Rabbit ?. L'affiche met l'accent...
Par
le 21 déc. 2015
1 j'aime
Evil toonsMouhaha amis de l'angoisse au programme des boobs a la pelle, un film sans cervelle, un toons tel un vieux dessin pour la poubelle et un caradine qui as juste envie de se faire la belle...
le 15 avr. 2024
Des choses à dire sur ce film : Pour Evil Toons, Fred Olen Ray a donné le minimum : deux trois idées qu’il ne cherchera même pas à utiliser, des nichons, un peu d’humour absurde et zou. Autant dire...
le 6 juin 2023
Du même critique
La prison est le sixième film réalisé par Bergman, alors quasiment inconnu, mais on peut considérer qu’il s’agit du premier « vrai » Bergman, puisque les cinq films précédents étaient des films de...
Par
le 25 mars 2020
10 j'aime
2
Distribué en France six ans après sa réalisation, le film a été affublé, par des distributeurs peu scrupuleux, d'un titre complètement absurde, destiné à surfer sur la vague déclenchée par le succès...
Par
le 14 juin 2017
10 j'aime
Finalement, c’est l’éternelle histoire de Roméo et Juliette. Ici, vraiment tout les sépare : leur mentalité, leur famille et, d’une manière qui s’avère radicale, l’exploitation capitaliste. Luigi...
Par
le 20 févr. 2020
8 j'aime