Retour au non-cinéma.
Critiquer, et même noter ce film, est un casse-tête. Pour le jeu et le plaisir de revoir Josiane Balasko, on se risquerait bien à un 7. Et puis on repense à tout le reste. Mathilde Seigner qui joue...
le 9 juin 2016
16 j'aime
2
Le pitch était intéressant et réaliste, une tanguy moderne et forcé joué par Alexandra Lamy. Mais, c'est d'un plat cette comédie, aucun moments corrosifs, que c'est gentillet, et en plus ça se répète, et il faut que les personnages soit pas super crédibles. Notamment le personnage de Balasko, qui fait des simulacres (qui se répètent) pour dissimuler son amant. En fait, il faut attendre le repas final de famille, c'est à dire à peu près une heure pour que le film soit un peu corrosif, avec notamment un super duo: Mathilde Seigner, Jérôme Commandeur, mais ne vous attendez pas non plus à beaucoup plus. Bref ce film est symptomatique du mauvais cinéma français qui fait un film avec une seule idée, à la base sympathique, mais en ne construisant rien autour, c'est navrant.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les films de Éric Lavaine
Créée
le 23 févr. 2020
Critique lue 92 fois
D'autres avis sur Retour chez ma mère
Critiquer, et même noter ce film, est un casse-tête. Pour le jeu et le plaisir de revoir Josiane Balasko, on se risquerait bien à un 7. Et puis on repense à tout le reste. Mathilde Seigner qui joue...
le 9 juin 2016
16 j'aime
2
A 40 ans, Stéphanie, divorcée, au chômage, est contrainte de retourner vivre chez sa mère. Elle est accueillie les bras ouverts : à elle les joies de l’appartement surchauffé, de Francis Cabrel en...
Par
le 6 juin 2016
9 j'aime
5
Roh... Moi je l'aime bien Alexandra Lamy! C'est la femme sympa et naturelle. Un peu brute de décoffrage... mais si vraie! Une véritable petit brin de femme. Adorable. Une femme authentique en somme,...
Par
le 2 janv. 2017
7 j'aime
10
Du même critique
Nous voici plongé dans la tête de Daniel Johnston, ou plutôt dans la tête de Daniel Johnston et du diable. Johnston chanteur de lo-fi (un des fondateurs) est bipolaire. Et cela entraine chez lui des...
Par
le 17 sept. 2022
5 j'aime
Les 10 premières minutes du film commencent un chef d’œuvre, on est dans une prison, au trou, l'univers est poisseux, mais en parallèle porté par une musique que l'on pourrait qualifié de...
Par
le 26 févr. 2021
3 j'aime
Ce film date de 1936, et pourtant quand on le regarde aujourd'hui, il est frappant de dire que son propos et toujours d'actualité, et que les choses n'ont malheureusement pas changé. C'est bien le...
Par
le 21 mars 2020
3 j'aime
3