Les cadrages et les mouvements de caméra approximatifs (réalisés caméra à l'épaule), qui changent d'angle sans motifs apparents (à gauche et à droite d'un poteau par exemple), sont terriblement gênants [56'56].
La même technique pour filmer la scène en extérieur est plus réussie (sauf les effets de zoom) car elle accompagne la danse, mais elle s'éternise trop longtemps [1h07-1h14].
Le jeu narcissique NAMASE Katsuhisa est trop artificiel et forcé pour un film qui se veut réaliste et sans fioritures.
Malgré l'intérêt que je porte aux films non bavards, le propos de celui-ci me paraît bien obscure et labyrinthique comme les premières et dernières images.
Lire :
- Lire : Dossier KAWASE Naomi, Monde en Question.
- Films bavards vs non bavards, Ciné Monde.