Lorsqu’Hollywood décide de relancer Sherlock Holmes, ils font appel à Guy Ritchie, un anglais, donc certainement un minimum proche du personnage…
Sauf que la filmographie du réalisateur n’a pas grand chose à voir avec le détective jusque là. Pourtant, il accepte et va adapter le détective à son style, tout en en faisant un blockbuster. Pour beaucoup, cela confine à la trahison et le film sera assez mal reçu par les spectateurs. Pourtant, le réalisateur ne fait qu’extrapoler les propose de Conan Doyle. Selon celui-ci, Sherlock Holmes est un amateur de boxe. i on y ajoute ses capacités, cela en fait un bon boxeur et potentiel homme d’action également. Son Sherlock est drogué ? C’est le cas aussi dans les romans.
Bref, l’intrigue tourne autour de Lord Blackwood, un homme qui est arrêté par Sherlock, mais ressuscite mystérieusement et a de sombres projets. Au passage, il lance un sacré défi à l’ami Sherlock… Si une grande différence peut être noté entre le roman et le Sherlock du film, c’est du point de vue physique. Robert Downey Jr. n’a pas grand chose à voir avec la description donné par Conan Doyle, ce qui n’en fait pas un mauvais Sherlock pour autant.
Tout comme Jude Law est un bon choix en Watson et le tout concours à donner un film trés agréable à suivre et qui reste un modéle de blockbuster intéressant à regarder, mais aussi dynamique et trés bien rythmé. Ce n’est pas la meilleure adaptation, ni un film d’une originalité folle, mais une belle reconstitution d’époque et un aspect divertissant prononcé en font un excellent film !