C’est le troisième volet de la trilogie Sindbad et le film n’a pas le charme du premier opus, Le septième voyage de Sinbad (1958), ni même celui, déjà moindre, du deuxième opus, Le voyage fantastique de Sinbad (1973). Il eu d’ailleurs le malheur de sortir en 1977, en même temps que La guerre des étoiles, film évidemment autrement novateur. En le revoyant, on y prend tout de même un certain plaisir, malgré une action souvent assez poussive et une interprétation bien moyenne, compensée cependant par la beauté de Jane Seymour et, surtout de Taryn Power.