Une pop star est terrassée par des événements aussi effrayants qu’abscons.
Le métrage rejoint l’élite des suites meilleures que le précédent. En réutilisant la mécanique de son prédécesseur qui était moins frénétique, moins barbare et moins sanguinolent, le métrage parvient à n’être aucunement une itération, notamment grâce à l’exploitation du thème de la célébrité, par exemple en déplorant l’extrême pauvreté et la banalité des textes de la chanteuse. C’est également un pamphlet envers le vedettariat qui mènerait manifestement à la drogue.