Une femme participe à son insu à un trafic d'appareils photo dans lesquels se cachent des bijoux volés place Vendôme.
Sorti en 1958, le film aurait sans doute disparu de la circulation s'l ne représentait pas respectivement la deuxième et troisième apparition au cinéma d'Alain Delon et Jean-Paul Belmondo, qui sont deux anciens copains de la femme trompée à son insu par Mylène Demongeot, du temps où elle-même volait des bijoux avant de ranger et de marier à Henri Vidal, qui est lui un policier. Si Delon n'apparait qu'une minute en tout, Belmondo reste un petit peu plus longtemps à l'écran, avec un personnage assez timide, et qui a une scène amusante avec Demongeot qui, pour s'approcher et lui parler chez elle, alors que son mari est dans la pièce d’à côté, se fait passer pour un animateur radio qui fait gagner des plumeaux ! Il y a aussi l'amusant Darry Cowl, qui apporte de la légèreté à une histoire assez sérieuse, mais au fond assez misogyne, le titre parle pour lui, car la pauvre Mylène est plus une potiche qu'autre chose dans ce film assez attendu, mais qui se voit comme une pièce de musée dans la découverte de deux jeunes acteurs, sans plus.