Spider-Man : New Generation – Quand l’araignée tisse sa toile en mode LSD

Une claque visuelle qui te décroche la rétine

Si t’as toujours rêvé d’avoir une hallucination sous acide sans te ruiner en substances illicites, Spider-Man : New Generation est là pour toi. L’animation est un mélange furieux entre un comics en pleine overdose et une cinématique de jeu PS5 sous stéroïdes. Chaque plan est un tableau qui hurle "regarde-moi !" avec des couleurs qui explosent comme un pétard dans une benne à essence.

Miles Morales, le Spider-Man que personne n’attendait mais que tout le monde adopte

On a eu des Peter Parker en veux-tu en voilà, mais cette fois, c’est Miles qui prend le relais, et bordel, ça fait du bien. Exit le petit nerd maladroit, bienvenue au gosse de Brooklyn qui gère sa double identité entre un daron flic, une mère protectrice et un oncle qui ferait rougir Vito Corleone. C’est frais, c’est dynamique et ça te fout un bon coup de pied dans le derche.

Un scénario qui tient la route et qui ne te prend pas pour un débile

Oublie les histoires cousues de fil blanc. Ici, on te balance du multivers en pleine tronche avec des variantes de Spider-Man aussi improbables qu’un gouvernement compétent. Un Peter Parker en dépression, une Spider-Gwen qui en impose, un Spider-Cochon sorti d’un délire sous Red Bull, et même un Spider-Man Noir qui parle comme un détective des années 30. Ça part dans tous les sens mais ça fonctionne, et surtout, ça ne prend jamais le spectateur pour un gogol.

De l’action millimétrée, des vannes qui claquent et une BO qui tabasse

Les combats sont chorégraphiés comme un ballet sous cocaïne. Ça virevolte, ça explose, ça bastonne avec une fluidité qui ferait pâlir John Wick. Ajoute à ça des dialogues bourrés d’humour, des références bien placées et une bande-son qui tabasse comme une soirée clandestine à Harlem, et t’obtiens un film qui envoie du lourd du début à la fin.

Conclusion : Le meilleur film Spider-Man, point barre

Spider-Man : New Generation met une gifle à toutes les adaptations précédentes et impose un standard que même les films live auront du mal à égaler. Si t’aimes Spider-Man, c’est un must-see. Si t’aimes pas Spider-Man, regarde quand même, tu pourrais enfin comprendre pourquoi ce perso est une légende. Bref, c’est de l’or en barre, un bijou d’animation et une démonstration de puissance. Sony a sorti le chéquier, mais pour une fois, ça valait chaque centime.

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