Jon Watts était un tâcheron aux service de Sony et sa trilogie autour de Spider-Man ne m'a que très peu contentée à l'exception du très sympathique Far From Home. No Way Home avait coché toutes les mauvaises cases de mon point de vue, utiliser le multivers pour pallier l'inexistence du scénario, faire revenir les anciennes incarnation de l'Homme-Araignée sur grand écran pour rameuter les fans dans un excès de racolage nauséabond et enfin proposer des effets spéciaux d'une incroyable laideur à des années lumières même de ceux du premier Spider-Man de Sam Raimi datant de 2002, je tiens à le rappeler. Rien n'allait dans ce produit marketing sans ambition jouant sur des réflexes putassiers du plus mauvais goût et je suis sorti de la salle avant la fin tellement la médiocrité inhérente de ce film me sautait aux yeux à chaque seconde. À enterrer définitivement au fond du jardin et à ne surtout jamais déterrer.