Amblin à Brooklyn
Ce film, destiné principalement à un public adolescent, s'ancre dans une ambiance urbaine moderne, mêlant la familiarité d’un immeuble de Brooklyn aux tonalités sombres d’un conte fantastique...
Par
le 10 sept. 2024
2 j'aime
[titre anglais façon Le robot~petits-bras qui vous sert de bouvier]
====
Sting, c'est l'horreur, mais en musique uniquement.
Là, avec peu de moyens, vous avez un petit bijou.
(je mets 9 [au lieu de 8] pour contrecarrer les aigreurs des zombies qui n'auront pas eu leur compte de 'sanguinolence' entre 24 mangas et 9 séries)
sauf l'araignée sortie du bocal... et retournée dans le bocal...
La trame est classique, simple (donc casse-gueule).
Malgré cela, tendu, hyperefficace --- et fort bien joué (mention à la jeune Alyla Browne).
Ça lorgne du côté de The Thing, Alien, Aliens et Wolfen sans frime ni clin d'œil.
La dose d'humour y est aussi.
Si je disais que ce film vaut le coup compte tenu des tonnes de merdasse que le genre déverse, je le dénigrerais.
Dans l'absolu, Sting est un excellent film d'horreur.
Créée
le 16 juil. 2024
Critique lue 41 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Sting
Ce film, destiné principalement à un public adolescent, s'ancre dans une ambiance urbaine moderne, mêlant la familiarité d’un immeuble de Brooklyn aux tonalités sombres d’un conte fantastique...
Par
le 10 sept. 2024
2 j'aime
La réponse arachnéene US à notre "Vermines" local ne se sera pas fait attendre avec ce "Sting" mettant une fois de plus à l'honneur une de nos amies à huit pattes à la croissance aussi exponentielle...
Par
le 16 mai 2024
2 j'aime
Après avoir vaillamant survécu à Arachnophobia, qui me faisait de l'oeil depuis que, gamin, j'avais vu la VHS au supermarché (un Rally si vous vous demandiez, et si vous n'avez jamais entendu parler...
le 23 sept. 2024
1 j'aime
Du même critique
Après être parvenu à tenir pendant les vingt premières minutes d'une course poursuite à Florence --- allégorie involontaire de la laideur* investissant (et saccageant) la beauté ---, je me suis dit...
le 17 déc. 2019
32 j'aime
1
La pauvre Nia DaCosta a encore et toujours les abeilles... Que sa colère soit sincère ou pas, elle en oublie (presque) le cinéma, ici, à force de chevaucher la Propagande, de faire de la retape pour...
le 18 sept. 2021
28 j'aime
28
24 heures du quotidien de trois jeunes de banlieue, sous forme implicite de compte à rebours... Entre les personnes qui honnissent Kassovitz (et sont incapables de jauger La Haine autrement qu'à...
le 24 mars 2020
27 j'aime
24