Regardable...
Dans un futur apocalyptique, des rebelles animent une station TV pirate et résistent à la puissante Unicom Corporation qui impose sa dictature sur le monde… Petit film assez fauché , à la limite...
Par
le 23 oct. 2018
1 j'aime
Dans un futur apocalyptique, des rebelles animent une station TV pirate et résistent à la puissante Unicom Corporation qui impose sa dictature sur le monde… Petit film assez fauché , à la limite du nanar, produit typique de la firme Full Moon, symbole de budget réduit et de sortie directe en vidéo. Le film est ici réalisé par le patron lui-même, Charles Band. Pratiquement tout se passe en huis clos dans la station TV, la mise en valeur du robot géant sur les affiches étant une pure escroquerie puisqu'il n'apparaît que quelques minutes vers la fin, pour soulever un pylône et libérer le héros dont la jambe est coincée par ledit pilone. Le pitch c'est qu'un cyborg, au service de l'Unicom, se cache parmi les rebelles et les massacre un par un : il faut le découvrir pour s'en débarrasser. Le début est assez laborieux et on ne comprend pas grand chose à ce qui se passe, puis le film prend un peu de punch avec la prise de conscience de l'existence du cyborg. Le tout se laisse voir et Megan Ward est toute mignone (il faut bien trouver quelque raison…).
Créée
le 23 oct. 2018
Critique lue 178 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Synthoïd 2030
Dans un futur apocalyptique, des rebelles animent une station TV pirate et résistent à la puissante Unicom Corporation qui impose sa dictature sur le monde… Petit film assez fauché , à la limite...
Par
le 23 oct. 2018
1 j'aime
Les temps sont durs pour Charles Band, frappé par la banqueroute suite à l’échec financier de son « blockbuster » Robot Jox. Empire Pictures ne s’en relèvera pas, emportant avec elle les studios Dino...
le 25 juil. 2024
Du même critique
Ce film inaugure la « période Mao » de Godard et son entrée dans l'anonymat du cinéma militant, dont il ne sortira que des années plus tard. Filmés sur fond noir (la photo et les couleurs sont...
Par
le 17 janv. 2017
10 j'aime
La prison est le sixième film réalisé par Bergman, alors quasiment inconnu, mais on peut considérer qu’il s’agit du premier « vrai » Bergman, puisque les cinq films précédents étaient des films de...
Par
le 25 mars 2020
9 j'aime
2
Finalement, c’est l’éternelle histoire de Roméo et Juliette. Ici, vraiment tout les sépare : leur mentalité, leur famille et, d’une manière qui s’avère radicale, l’exploitation capitaliste. Luigi...
Par
le 20 févr. 2020
8 j'aime