"Reste cool, sac à merde."
Le film est encré dans la culture américaine 80/90's. No problemo! Tout commence par le grondement de la guitare de George Thorogood avec Bad to the Bone et se termine par la mythique voix criarde d'Axel Rose avec You Could Be Mine (que l'on entend effectivement par bribe, tout au long du film). Le cadre est donné. Il ne reste plus qu'à chevaucher une belle Harley, vétu d'un cuir, de bottes, et de lunettes de soleil!
De toute la saga Terminator, le Jugement Dernier reste le plus abouti, et le plus auto-critique. Le peu de dialogue qu'a Schwarzy, ajoute de la légèreté au caractère dramatique de l'histoire apocalyptique. Robert Patrick endosse un rôle des plus barvards de tous les méchants qui n'ont jamais été créé. Et pourtant, ce fut, selon mes impressions, le rôle de sa vie!
Un point indéniable, que celui d'être obligé de regarder le Director's Cut, pour ne pas manquer d'admirer notre Schwarzy national en train d'essayer d'esquisser un sourire.
Hasta la vista, Baby!