Eli Roth est de retour, après un death wish sympa mais pas convaincant.
Ici foin de réflexion, juste la prolongation d'une fausse bande annonce déroulée en film - plutôt bien en fait - et qui répondra à la question du film "qui se venge" et pourquoi.
Enième slasher ?
Oui et non en fait.
On retiendra en fait le message politique (mais si) sur la folie consumériste américaine - et son black friday de l'enfer, ou encore les abrutis de teenagers se filmant en permanence (y compris au moment de mourir).
De plus, eli roth sait présenter des scènes gores de chez gore, assez imaginatives (l'utilisation des instruments de cuisine), et notamment l'épouvantable scène de la dinde servie à table.
Non, car on n'atteint pas la folie furieuse de green inferno ou de hostel, ou on se rapprochait (rapprocher juste rapprocher hein pas taper) de la tension du film de tobe hooper.
De plus, même si c'est voulu comme tel, comment s'attacher à des ados aussi stupides, qu'on espère voir trucidés rapidement - et on est servi (si j'ose dire)
Reste le retour de roth à son genre fétiche, et ca c'est bien.
spoiler le méchant est sur l'affiche
avec la hache