Les plans passent les un après les autres, commencent en noir et blanc, continuent en couleur, la caméra lointaine nous met à la place de cette assassine mutique qui observe, prête à observer ses cibles, leur entourage et les aspérités du terrain
On en vient à contempler chaque portraits qui nous est présenté avec d'autant plus d'attention et à se dire que le monde est beau, du moins, la caméra le rends beau.
On comprend les remords de l'assassine.
Puis vient d'un coup le moment de sortir les lames, corrégraphies soignée servie par la magnificence de l'architecture et des forêts, rapides comparé aux plans précédents, l'assassine parvient à se défaire de ses adversaires avec une grande économie de mouvement.
J'ai adoré personnellement