Il y a trois parties dans ce film. Une intro un peu ratée, une oeuvre épique et une fin VRAIMENT ratée (malgré la brillante Ariane Labed). Les nombreux clichés sont compensés par un récit bien ficelé, des acteurs de premiers plans et une réal ambitieuse en dépit d'un modique budget de 10 millions de dollars (un apéro à Hollywood). Les trois heures trente passent sans regarder son portable mais finalement ce qu'on retient n'est pas la vie après la Shoah mais comment l'oligarchie pourrit tout ce qu'elle touche. Brutalist capitalist.
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il y a 5 jours
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