Un autre représentant de la vague de films gores hystériques venus d'Asie qui s'abat depuis un bon bout de temps sur nos pays. Et ça fait sacrément du bien.
Celui-ci est un des plus connus avec Tokyo gore police. Bien que je préfère ce dernier, Machine girl assure également son lot de fun et de séquences trash du plus bel effet en arrosant ses séquences de bravoure de litres d'hémoglobine.
Prenez une héroïne sexy, ajoutez-lui une mitrailleuse lourde et un fort désir de vengeance, mixez le tout avec des yakuzas et des ninjas kamikazes, n'oubliez pas d'ajouter une pointe de torture et des geysers de sang un peu partout, et servez bouillant.
Alors oui, aucune des situations ne tient la route niveau crédibilité, les méchants paraissent avoir fait un stage chez les Power Rangers, et le doublage est absolument calamiteux (je maudis ma flemme qui me fait parfois préfèrer la VF, celle-ci étant ici particulièrement naze). Mais le film annonce la couleur dès le début et le spectateur sait parfaitement ce qu'il est venu chercher dans Machine girl. Une nippone sexy, des armes, des torrents de sang. What else.