Critiques de The Master

Heisenberg
9

Complexes deux types

The Master, et c'est l'apanage des grands films tels que je les perçois, cache derrière sa perfection esthétique, sa classe et sa mise en scène d'une précision horlogère, des tournures narratives un...

le 5 déc. 2012

96 j'aime

16

Bex
6

Critique de par Bex

Si j'écris cette critique, c'est bien plus pour tenter de clarifier mon sentiment vis-à-vis du film que pour réellement lui accorder sa vraie valeur. En effet The Master est le genre de film très...

Par

le 11 janv. 2013

95 j'aime

11

Anyo
9

Confrontation Mutuelle

Paul Thomas Anderson peaufine son art de film en film. Après la frénésie de ses débuts et de ses films chorales tous impregnés d'une insouciance formelle manifeste, le cinéaste américain semble...

Par

le 9 janv. 2013

90 j'aime

6

guyness
6

La voie de son maître

Impossible de parler de ce film sans en dissocier absolument la forme souvent somptueuse, du fond pour le moins déroutant, pour ne pas dire abscons. The Master, haute définition La (grande) forme...

le 20 mai 2013

47 j'aime

9

Gand-Alf
6

La vérité serait-elle dans l'imperfection ?

A l'image d'un Terrence Malick de plus en plus insaisissable, Paul Thomas Anderson est un cinéaste passionnant, qui fascine autant qu'il énerve, indéniablement talentueux, réalisant ses films avant...

le 1 juin 2013

45 j'aime

2

ldekerdrel
3

acte manqué ?

J'aurais aimé sincèrement dire du bien de The Master . Je suis un admirateur du travail de Paul Thomas Anderson depuis Boogie Nights, premier film stupéfiant qui aurait pu etre signé scorcese sans...

le 11 janv. 2013

34 j'aime

1

reno
8

Critique de par reno

Décidément Thomas Paul Anderson n’est jamais où on l’attend. Sa filmographie semble échapper à toute tentative de réduction ou d’appréhension. Et si The Master illustre quelque chose, c’est bien...

Par

le 17 janv. 2013

32 j'aime

6

Rawi
8

Un homme et son chien.

Ce long métrage est d'une telle richesse thématique qu'il est facile de s'y perdre. La manipulation (d'un homme sur un autre, d'une femme sur un homme, d'un homme sur un groupe), la faiblesse...

Par

le 15 janv. 2013

31 j'aime

potaille
5

L'illusoire rencontre

Après « Magnolia » ou « There will be blood », Paul Thomas Anderson s’est peu à peu forgé une réputation de cinéaste indépendant reconnu par la critique (Ours d’or et d’argent à Berlin ou les deux...

le 29 janv. 2013

26 j'aime

8

pphf
7

La dialectique du maître et de l'esclave

Brillant, assurément. Dès le prologue, d’une maîtrise formelle exceptionnelle, on a droit à une cascade de plans-séquences. Tout d’abord sur la compagne de Freddie (Amy Ferguson),...

Par

le 5 juin 2014

20 j'aime

6