Un Predator qui préfère la vanne à la chasse
Dès les premières minutes, t’as compris : Shane Black a décidé de transformer le plus grand chasseur de l’univers en stand-uppeur du Jamel Comedy Club. Les répliques fusent comme des balles perdues, mais sans jamais toucher la cible. Résultat ? Au lieu de sentir la sueur et la peur, tu sens la gêne. Predator, c’était un huis clos oppressant, là c’est une mauvaise parodie où le suspense est aussi absent que la crédibilité du casting.
Un scénario qui s’autodétruit
Le script ? Une insulte à l’intelligence. On te vend des Predators évolués avec de l’ADN alien et des super-pouvoirs, mais au final, ce sont juste des brutes épaisses qui courent partout comme des golgoths en manque de caféine. Ajoute à ça des chiens extraterrestres mal faits et inutiles, et tu obtiens un cocktail plus indigeste qu’un kebab douteux un lendemain de soirée.
Effets spéciaux : bienvenue chez Wish
Côté visuel, c’est pas fameux. Les chiens Predator ressemblent à des renders oubliés d’un vieux jeu PS2, et le grand Predator génétiquement modifié n’impressionne personne. C’est quoi cette CGI de l’enfer, Shane ? Tu voulais économiser sur le budget ou quoi ? Même un épisode de Stargate SG-1 aurait mieux géré le truc.
Un casting digne d’un épisode des Feux de l’amour
Boyd Holbrook et sa bande de bras cassés, c’est une blague. Personne n’y croit une seconde. On dirait des lycéens en cosplay de soldats : pas de charisme, pas de tension, pas de sueur, rien. Comparé à la bande de baroudeurs en sueur menée par Schwarzenegger dans le film culte, c’est un carnage. On passe d’un casting viril à un cirque ambulant qui ne sait que balancer des vannes nulles.
Predator ou Iron Man ?
Et cette fin… Parlons-en ! On tease un Predator-Iron Man, un truc tellement ridicule que tu te demandes si Shane Black n’était pas sous substances illicites en écrivant ça. La franchise méritait mieux que cette sortie de route humiliante. Même les fans hardcore doivent avoir honte.
Conclusion : Un carnage (et pas dans le bon sens)
The Predator, c’est comme un fast-food avarié : tu savais que c’était risqué, mais tu y es allé quand même, et maintenant tu regrettes. À oublier d’urgence, sauf si tu veux savoir à quoi ressemble une saga mythique massacrée à coups de mauvaise comédie. Merci Shane Black pour ce naufrage.
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