Si la substance déborde parfois un peu, d'effets de caméra, d'effets de chair, de violence, d'épate... on ne boudera pas son plaisir à cette revisitation du portrait de Dorian Gray, qui met en abîme jeunesse et vieillesse. Dommage que la démonstration soit parfois trop simpliste et caricaturale, devienne lourde et bêtement gore. Reste qu'elle disperse quelque chose autour d'elle. Comme l'odeur de mort de nos sociétés jeunistes.

hubertguillaud
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le 20 oct. 2024

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