Les vampires, ça marche pas toujours, hein !
La famille Hamilton décide de déménager à cause d’un gros dérapage et doit se faire oublier. Recherchés par la police, ils arrivent en Angleterre sous l’identité des Thompsons. Ils atterrissent dans un village, mais tombent sur une autre famille de vampires, disons, pas très accueillante.
Réalisé par les Butcher Brothers (The Hamiltons, The Violent Kind), « The Thompsons » commence plutôt bien, l’histoire s’installe, l’histoire est intéressante, puis ça devient un peu n’importe quoi quand ils essaient de faire dans « l’original », les flashs backs arrivent de n’importe où, c’est fouillis et du coup le montage n’a plus de sens. Dommage, les idées sont là et l’histoire de cette famille est attachante. Il faut aussi avouer que le jeu d’acteurs de la deuxième famille (surtout les parents) laisse vraiment à désirer. Entre la mère qui est méchante parce qu’elle écarquille les yeux et le père qui pousse des cris ridicules (et qui ressemble à sharkman) pour faire genre c’est un gros méchant pas beau … Les accélérations sur les transformations, ok, si tu veux, mais l’accélération sur une victime qui flippe et qui à un décolleté … Vous verrez, elle a les boobies qui frétillent (je sais, rien ne m’échappe). Disons que ces petites choses ont tendance à tout vous gâcher quand déjà, vous n’êtes pas très convaincus !
Des bonnes choses, je vous l’ai dit, il y en a quand même, mais peut-être qu’à trop vouloir en faire, on s’y perd. Un peu lourd, quoi …