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Bus stop.
Ayant tâté du blockbuster hollywoodien avec le sympathique "Green Hornet", Michel Gondry revient à un cinéma plus simple, plus spontané, dans la droite lignée de "Block Party" et de "Be kind rewind",...
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le 3 févr. 2013
21 j'aime
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La cruauté de l'adolescence
Gondry débarque dans le Bronx et filme un trajet de bus où évolue une bande de lycéens en pleine forme. « Action ou vérité », flirts, préparatifs de soirée d’anniversaire, souffre douleur, partage de vidéos sur leurs portables, secrets dévoilés au grand jour.. La pression du groupe pousse ces jeunes à être cruels les uns envers les autres, voir violents (autant verbalement que physiquement)
On adhère plus ou moins à leurs intérêts qui sont ceux de jeunes de notre époque, mais le film est vivant et on ne voit pas le temps passer.
Surtout, ça chambre beaucoup et gratuitement. Ça nous rappelle que l’adolescence n’est pas une période facile pour tout le monde..
critique publiée sur https://boulimiedeculture.wordpress.com/2013/04/17/the-we-and-the-i/
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Créée
le 31 mars 2016
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