Tous les autres s'appellent Ali, de Rainer Werner Fassbinder (1974).
Un bien bon film que celui là. Très bien réalisé (certains plans, comme celui à la terrasse ou chez la fille qui tient le bar, sont sublimes) et intelligent. Le film traite du racisme, du bouc émissaire éternel (continuel et de génération en génération), de l'amour qui n'a pas d'âge, des préjugés et de bien d'autres choses encore.
Le film pourrait être divisé en trois parties, dont les deux premières sont plutôt manichéenne. La troisième, elle, est beaucoup plus complexe et modère le tout. C'est pourquoi, globalement, je ne dirais pas que le film est manichéen. Très prenant, touchant et qui fait réfléchir.
Karutso
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le 30 juin 2011

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Karutso

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