Quelques semaines après la mort de Ben Laden, l'Amérique prouve qu'elle a fait le deuil du 9/11 en détruisant tout sur son passage. Le plaisir sadique avec lequel Michael Bay piège ses acteurs dans un immeuble de bureau en voie de pulvérisation est un gros doigt à la "décence" que s'imposait Hollywood ces dernières années.

L'Amérique a passé un cap, tant mieux pour elle. Maintenant il faudrait que je fasse pareil. Pourquoi, à 30 ans passés, est-ce que je continue à m'infliger le spectacle de jouets de mes 10 ans agités par un scénariste gâteux? Surtout quand le bouzin fait 2h35. La dernière heure est tout bonnement interminable.

A noter l'étonnant retour en grâce de Leonard Nimoy qui nous fait la même chose que Christopher Lee il y a cinq ans et multiplie les apparitions. Cette fois-ci, on a le droit à un robot-spockisé. Mouai...
Marius
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le 11 juil. 2011

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Marius

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