Etes-vous familiers de ces pets type Diesel qui débutent dans un roulement mécanique, juste le temps de s'échauffer, et qui durent ensuite des heures et des heures, jusqu'à laisser une trace énorme, indélébile, démentielle, imprégnant jusqu'aux fondations même de votre logement ?
Ce sont des vents qui sont si rares qu'il faut en chérir à tout prix l'héritage !
Transformers 4 est de ceux-là. A chaque séquence du film, on croit que le caleçon est suffisamment recouvert mais non ! Michael Bay en rajoute systématiquement une couche, sans se soucier de la résistance plus ou moins grande de votre tissu, jusqu'à vous faire baigner dans une gigantesque mare nauséabonde dans laquelle même la femme de ménage la plus aguérrie, se noiera lors du tri du linge sale le lendemain.